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2000
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Happy birthday !

Dix ans déjà, cela fait dix ans que la Fraternité salonaise oeuvre en faveur des personnes sans domicile fixe. En dix ans, l'association a pu asseoir son action, grâce notamment au soutien de la municipalité qui lui a permis de s'installer sur une parcelle de 8 180 m2, située dans la zone d'activités de la Gandonne. Depuis 1990, les lieux ont bien changé. Sous l'impulsion de son directeur, Claude Cortési, les locaux se sont agran­dis. Une nouvelle cuisine est bientôt terminée et déjà, on pense à construire de nouvelles chambres dans les­quelles les couples pourraient être accueillis. Beaucoup d'efforts, d'investissements humains et financiers sont au coeur de la belle aventure de la Frat'. Pourtant, tout peut s'arrêter, si demain une municipalité ne partage pas la philosophie de l'association et reprend les terrains. Pour pérenniser son action, une délibération sera présentée, lundi en conseil municipal. Elle vise à conclure entre la ville et le collectif un bail à long ter­me d'une durée de 40 ans. Happy Birthday, la Frat'

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Lucrative opération "pièces jaunes"

Initiée pour la 11ème année consécutive au niveau national par la Fondation des Hôpitaux de Paris - Hôpitaux de France, au profit de l'enfant à l'hôpital, l'opérationpièces jaunes a été soutenue localement par la commission "action sociale" du CME (conseil municipal d'enfants).
C'est ainsi que la Poste Massenet, l'un des partenaires, a confié 100 tirelires au CME qui a choisi de les diffuser dans tous les établissements scolaires de la ville, les structures de la petite enfance, les foyers de personnes âgées, la bibliothèque, la MJC, le mas Dossetto.... la police, la gare, l'hôpital, la clinique, l'AACESC, NEEMA et chez les commerçants qui l'ont souhaité. A l'issue de la campagne, les enfants ont centralise les tirelires pour les remettre au bureau de poste avec leur butin :300 kg de pièces jaunes, ce qui a permis de doubler cette année la collecte de la poste Massenet (600 kg). Quant à la somme, elle n'a pas été détaillée (les pièces de 20 centimes étaient acceptées comme celles de 10 et 20 F). A noter que rien qu'a l'hôpital, l'an dernier, il a été récolté 47 kg de pièces qui ont servi à payer la facture de trois pompes à insuline. Et que cette année, le poids est passé à 55 kg. Après s'être fait expliqué le parcours d'une lettre (le bureau de poste de Salon gère l'expédition d'environ 40 000 lettres par jour), les enfants se sont rendus chez Claude Cortési, à la Fraternité Salonaise, association qui va fêter prochainement son 10ème anniversaire, et ils ont partagé la galette des rois avec l'équipe.












Les enfants à la Frat' (photo Carine Correa)

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Le Salon BC et la JUS
ensemble pour la Frat

Les deux clubs joueront ce soir, à partir de 18 heures, au profit de la Fraternité
Salonaise. Une heureuse initiative parrainée par Salon Jeunesse et Sports

Beaucoup en avaient rêvé et finalement deux l'ont fait. Main dans la main, deux des clubs phares de la ville de Salon ont uni leurs forces pour venir en aide à la Fraternité Salonaise. Ce monument social du pays salonais, incendié dans la nuit du 16 au 17 septembre dernier, a vu partir en fumée une partie de ses locaux, voyant son activité se réduire, mais pas disparaître. Au grand dam des pyromanes...
A l'heure de la reconstruction, et alors que des commissions d'experts se succèdent, le Salon BC et la JUS Salon proposent à ce modèle de réinsertion économique et sociale, un bonus financier. Profitant que leurs équipes fanions jouent à domicile le même soir, les présidents Isnard et Saubin ont sauté sur l'occasion pour mobiliser les énergies, les esprits... et les porte-monnaies.
Si l'entrée au gymnase est gratuite, une urne attend tous les donateurs sensibles à l'action de la Frat, au dévouement de Claude Cortési et de toute son équipe. Entre les rencontres et à chaque mi-temps, la section hip-hop de la MJC Salon proposera un spectacle, apportant sa pierre à l'édifice. Un édifice et une cagnotte que tous espèrent géante et pleine. Pleine d'argent bien sûr. Pleine de générosité, de reconnaissance. Pleine d'amour.
Deux sports, deux matches, une même cause. Un même acte de solidarité. Incontestablement, Claude Cortési, directeur de la Fraternité Salonaise n'est pas resté insensible à ce geste. "Cet élan de générosité nous a beaucoup touchés. Bien sûr que les fonds récoltés sont importants pour poursuivre notre action. Mais à la limite, cela importe peu : le geste est beau, sincère. C'est déjà énorme", confie-t-il, encore ému par l'implication des clubs de handball et de basket-ball. Action qu'il souhaite élargir au Boxing Club Salonais qui a fait part de son intention de reverser une somme lors du gala organisé courant novembre à Salon.La Frat participe depuis des lustres à l'activité sportive salonaise en aidant les clubs dans ses campagnes publicitaires, d'affichage. Cette soirée s'inscrit dans une certaine logique.
Une logique bafouée par cet acte "irresponsable" selon les termes de Claude Cortési, qui a plongé beaucoup de personnes dans le désarroi. Entre effondrement et rage. "La première semaine, nous avons accusé le coup. Le sentiment de désolation prédominait. Mais depuis, on est reparti de plus belle pour leur montrer qu'ils ont eu tort d'agir ainsi.
"A la rentrée des vacances de la Toussaint, nous lancerons une opération de souscriptions pour venir compléter les aides financières des communes environnantes, des entreprises et du monde sportif " Que chacun donne ce qu'il peut et ce sera déjà beaucoup.
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Le Rotary-club distingue
des Salonais au grand coeur

La dernière réunion en date du club doyen du Rotary salonais n'était pas tout à fait traditionnelle : quatre invités non Rota- riens y étaient les invités du président Jean-Noël Tissot, à "La Touloubre", à La Barben : Claude Cortési, directeur de la Fraternité Salonaise, Franck Lathuillière mais également les jeunes Olivier Barth, et Benoît Petit.
Pour le premier de ces invités, c'est devenu une coutume : chaque année, le Rotary fait un don à la Fraternité Salonaise, pour la soutenir dans l'action en faveur des plus défavorisés, des plus déracinés, que mène l'association depuis sa fondation. Aide financière, mais également aide sous forme de conseils :


Jean-Noël Tissot : un président qui termine son mandat de façon à la fois très généreuse et très souriante

depuis plusieurs mois, Jean-Pierre Marmoz, architecte, aide Claude Cortési pour la réalisation de constructions devenues indispensables au fonctionnement de la "Frat". Second invité, Franck Lathuillère, est lui un tailleur de pierre qui s'est spécialisé dans la restauration de monuments historiques. C'est la qualité de son travail qui lui vaut les encouragements du Rotary, et un prix qui récompense son travail manuel.
Quant à Olivier Barth et Benoît Petit, tous deux élèves du lycée Adam-de-Craponne, ils s'étaient engagés dans une belle action qui avait obtenu le soutien du club doyen, dont l'objectif était d'apporter des fournitures scolaires à des écoles du Maroc. Ils ont fait un exposé sur ce voyage, qui n'a pas manqué de quelques imprévus.
Les Rotariens ont apprécié leur récit.

Des as du pilotage en 4 x 4 et des essais à Roquerousse

Des as de la conduite en 4x4 seront toute la journée au domaine de Roquerousse pour vous aider à découvrir ce qu'est le plaisir de conduire sur des pistes, dans un cadre idéal pour ça. En participant à cette Journée, vous contribuerez également à une opération humanitaire, mise sur pied par l'équipe du Rotary Salon-Craponne, qui participe à la construction d'une école, et d'un dispensaire pour mener un action humanitaire, à Madagascar. Des stages, films et conférence sur la conduite tout terrain, un stand animation enfants, et une paella attendent les participants.

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Lions Club : une aide à la
Vaillante et la Fraternité

Des chèques conséquents ont été remis aux deux
associations : c'est le prolongement du défilé de mode


Raymond Lamballais, heureux de remettre de jolis chèques à Claude Cortési et à Luc Vanni.
On sait
qu'ils seront bien utilisés.

On ne le sait peut-être pas assez : le Lions Club consacre chaque année plus de 100 000 francs, à des oeuvres à caractère social, ou humanitaires.
Lors de sa dernière réunion, avant-hier soir, au Mas du Soleil, deux chèques ont été remis par le président Raymond Lamballais : l'un, de 10 000 francs, au directeur de la Fraternité salonaise, Claude Cortési. Pour l'aider à reconstruire ce qui a été détruit par un récent incendie, et à continuer à accueillir des personnes en difficulté, ce qui est la mission de son association.
Le second, de 11 500 francs, était destiné à l'association "La vaillante", qui s'occupe, elle, de sportifs handicapés. C'est à son président, Luc Vanni, qu'il a été remis.
Ce souriant athlète fait de la course en fauteuil, du demi-fond, plutôt. Son enthousiasme, son dynamisme, sont contagieux, et sont aussi un formidable exemple pour tous ceux que la vie a profondément atteints dans leurs capacités physiques.
Le but de la réunion était, également, d'adresser des remerciements à tous les commerçants Salonais qui ont participé et aidé à l'organisation du défilé de mode. Il est annuellement organisé, et contribue, avec les cotisations des membres du club, à amplifier les actions sociales entreprises.
M. Hamou, par ailleurs membre du Kiwanis club, et Florence Maïoli, ont été particulièrement remerciés.
Ce n'est pas la seule façon d'apporter une contribution utile dans la société. Le club de Salon s'est toujours mobilisé, depuis la première année, pour le Téléthon. Il en sera de même cette année.
En revanche, Raymond Lamballais s'est montré moins enthousiaste sur le résultat de la journée de collecte de sang des "clubs-service" : sans doute, 92 poches ont-elles été recueillies. "C'est tout de même assez peu par rapport aux 200 membres qu'ils comptent à Salon".
Remarque qui ne s'adressait pas qu'aux "lions".
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Gros effort et petite prime

La Charette de la Frat' au Centre ancien : cette initiative du Bourg-Neuf, se doublera d'une
enveloppe-Noël on ne peut plus méritée. (Photo J.F.B. Salon)

Impressionnant le déploiment de forces vives pour déguiser les cours en habits de Noël. Pensez que plus de 1000 mètres carrés de moquette rouge ont été déroulés, pliés, coupés et livrés à domicile par les seules Jo Stofati et Isabelle Bonnet. En outre, plus de 350 arbres ont été plantés, séchés, peignés et peints par l'inévitable et hyperefficace main d'oeuvre de la Fraternité Salonaise.
Un double travail de titans, complété par la mobilisation générale associative, et l'aide logistique de la mairie. Une oeuvre collective donc qui a fait de tous les citoyens salonais des témoins heureux, premiers bénéficiaires de cette effervescence manuelle.
Mais la présidente du CIQ Centre-ville a cette fois fait jurisprudence en adressant un geste particulier envers les pensionnaires de la "Frat" de Claude Cortési, "à qui on demande toujours tout et on ne donne jamais rien".
Le propos est excessif bien sûr, mais en donnant une enveloppe conséquente, notre superwoman salonaise de l'associatif a voulu faire le cadeau de Noël d'une structure, mais surtout de la ville à ses marginaux malgré eux, qui échangent souvent sans calcul des centaines d'heures de bonne volonté contre une main tendue. Si le geste est tout à l'honneur de ceux qui l'ont effectué, il crée une jurisprudence que beaucoup aimeraient voir souvent imitée, notamment dans les entrepises colossales où l'aide bénévole se compte en centaine d'heures (Reconsituion, course de solex...). En n'oubliant pas que si l'aide est dans ce cas, tout le temps consentie, le bénévolat est parfois un luxe que certains ne peuvent pas se permettre. Bravo pour ce petit geste, qui, si c'était encore possible, stimulera encore plus les bonnes volontés associatives de la fraternité Salonaise. Autrement dit, un investissement plus que rentable pour les généreux donateurs.

La "Frat" mobilisée

Dans l'armada des services mobilisés hier pour enrayer les effets du mistral, on a retrouvé - avec le dévouement et l'abnégation qui ont fait leur réputation sur la scène associative - les pensionnaires de la Fraternité Salonaise ; bravant le froid et les bourrasques pour "sauver" les décors de "Noël dans la rue". Soit 350 genêts et 2.000 m2 de moquettes rouges que le vent trimbalait allègrement sur les cours, et que ont mis plusieurs heures à attacher.
Chapeau donc. Une nouvelle fois...

 


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